L'annonce faite par le réseau SER est liée à un projet récupéré par l'ancienne adjointe au maire Begoña Villacís, qui en avait parlé en mars 2020.

Mme Sanz a expliqué qu'à l'heure actuelle, les "études géotechniques" ont été lancées et qu'à partir de là, le conseil municipal "prendra les décisions appropriées". Elle a affirmé que le projet pourrait contribuer à "régénérer" une zone qui, selon elle, est "détériorée" mais qui pourrait constituer un nouveau point d'attraction pour la ville.

À la question de savoir s'il s'agit d'un projet proposé par un agent externe ou d'une idée du conseil municipal, elle a répondu qu'il était seulement en cours d'"évaluation" et qu'elle comprenait qu'il pouvait "être positif pour la ville d'avoir un point d'attraction reconnaissable, semblable à ce qui se passe dans d'autres villes européennes".

Si les études déterminent qu'il n'est pas possible d'installer l'attraction dans cette zone, le conseil municipal est ouvert à l'évaluation "d'autres alternatives", bien qu'elle n'ait pas précisé lesquelles.