"Cepsa évalue l'impact fiscal de l'éventuelle approbation d'un impôt permanent en Espagne", indique l'entreprise dans un courriel cité par l'agence Bloomberg. L'enjeu est un investissement de 3 000 millions d'euros à San Roque (Cadix), annoncé il y a deux ans.

Comme le rapporte le journal espagnol Expansión, le projet dit Vale Andaluz do Hidrogênio est menacé, car Mubadala (Abu Dhabi) et Carlyle, les principaux actionnaires de Cepsa, ont décidé de geler cet investissement jusqu'à ce qu'ils connaissent la décision finale de l'exécutif madrilène.